Une danse, une énergie, un lâcher-prise.

L’énergie est une valse, un tango où corps et esprit s’animent,

Tels un feu incandescent, enflammé,

Dans chaque souffle, chaque respiration,

Un entrechat qui danse, animé par l’énergie.

Sans faille, inspiration après inspiration,

Expiration après expiration, revigorant,

Le caractère d’un pas de bourrée unanime.

Sous les mains, la lumière scintille et s’avance,

Comme un voyage doux à l’intérieur de soi.

L’âme trouve sa place,

Sa chaleur nous réconforte, pleine de foi.

L’esprit s’harmonise sous cette danse,

Chevaleresque et enivrante, qui panse.

Le corps chante cette douce mélodie,

Et sous ces mains, les tensions se transforment en matin,

Radieux et illuminé de satin.

Laisse l’énergie guider ces pas d’une mélodie,

Un souffle, une note, une vibration.

S’émouvoir à travers ce corps et cet esprit,

Libéré, libéré des émotions non exprimées,

S’affranchir des blocages enfouis,

S’émanciper du passé.

Stress et fardeau s’équilibrent,

Le poids mort se relâche,

L’énergie capte, ce lien se tisse,

Sensation de changements subtils,

Une invitation à la transformation du corps,

L’esprit s’harmonise, tout en lumière.

L’intention apaise, et l’oubli devient possible.

Dans un contrebalancement assuré.

Une sagesse, un bien-être retrouvé.

On éclôt dans les eaux de l’esprit,

Là où le silence apparaît, abordant notre éternel.

Sous l’énergie et le baume protecteur des mainsmaternelles,

Danse, danse à tout va, revigore et accepte l’infini.

Là où tout devient possible,

Au-delà des horizons profonds que nous nous imposons,

Trouve en toi la plus douce des danses,

De l’énergie, de l’apaisement.

Belle âme.

Perrine

Les Mains Qui Guérissent.

Dans la douceur, au creux de mes mains, L'immense puissance de chaque geste devient un souffle, Un souffle qui parle à ton âme, Qui rencontre ton intérieur, tes pensées, ton passé, Et transforme l’instant présent en un moment précieux, Où la turbulence de la vie ralentit ,Où le cœur se fait paisible,Comme un rêve léger et silencieux.

Sous mes mains, une énergie douce et bienveillante, Un souffle de Reiki qui purifie, qui libère,Rééquilibrant ton corps, ton esprit,Tout en douceur, sans effort.Comme un massage qui dénoue les tensions,Comme un chuchotement qui effleure ton cœur,Détendant chaque muscle, chaque pensée,Te permettant d’être juste là, pleinement présent.

Laisse-toi guider, sans résistance,Dans un état de calme, d’ouverture, Là où ton esprit peut se déposer,Comme un état hypnotique, où tout devient léger,Où tu t’abandonnes à l'instant,Et où chaque souffle te rapproche de toi-même.

Chaque geste est un mouvement d’harmonie, Un chant silencieux qui libère ce qui doit l’être,Un souffle qui dissipe les blocages,Qui calme les émotions et les ressentiments,Là où la guérison commence,Dans la chaleur de mes mains,Dans la bienveillance de ce moment partagé.

Et toi, dans ce voyage intérieur, Tu te libères des poids du passé, Tu laisses fleurir en toi une sagesse douce,Un bien-être qui grandit, serein,Dans la tranquillité, au creux de mes mains.

Perrine.

Sous le regard du chérubin.

Quand un chérubin nous renvoie à notre propre miroir,À notre reflet, à notre image,Son innocence nous révèle nos fragilités,Les failles enfouies sous les armures que nous avons forgées.Les blessures oubliées,Les faiblesses que le temps a masquées.

Dans la noblesse de son regard et à travers sa malice,Le reflet de ses iris voit ce que nous cachons,Ce que nous refusons de voir.Et dans ce regard pur,Nous découvrons un amour brut, sans conditions,L’éclat d’un passé enfantin que nous croyions révolu.

Tels des pantins, des marionnettes sous notre contrôle,Ils dansent au rythme de leurs gestes simples,Un pas en avant, puis un autre qui trébuche,Et se relève dans une tentative de retrouver l’équilibre.Ces enfants n’ont pas de masque,Ils ne jouent pas à être forts.Ils vivent sans crainte,Et c’est leur simplicité qui fait tomber nos défenses.

Ils ont cette capacité à nous faire perdre notre latin,Avec un geste, un mot, un éclat de rire.Ils déchirent l’armure, la fissurent,Gravant dans la pierre de nos cœursLes empreintes d’un souvenir ancien,D’une vulnérabilité que nous avions oubliée.

Sous leur regard, nous nous trouvons ébranlés par des peurs cachées,Des peurs enfouies sous des couches de protection,Là où la larme monte et déboutonne l’armure,Sous le poids des années, du passé.Comme des chevaliers descendant de leurs destriers,Nous avançons, lentement,Et la douceur de leur présenceFait fondre la rigidité de nos cuirasses.

Leur lumière joyeuse éveille en nous un apaisement,Notre fougue demeure dans leurs caresses légères,Un amour sans attente, sans déception,Un amour pur retrouvé après une longue traversée.

Ils nous ouvrent à la paix, à la compréhension,À la compassion et à l’apprentissage.Nos cœurs évoluent, se transforment.Mais au fond, la question demeure.

Et nous, petits lutins, si nous regardons dans notre rétroviseur, que voyons-nous ?Et nous, petits chérubins, avons-nous appris à voir au-delà des ombres,À comprendre ce qui se cache dans les éclats de lumière ?

Perrine.

Promesses à soi-même.

Il se souvient, dans ses rêves, de ces nuits où le sommeil l’enveloppe de douceur,Sous la lueur de la lune, entre ombre et lumière,Au bord de l’océan, allongé sur le sable tiédi par la chaleur de l’été,Où les vagues viennent caresser sa peau, le massent doucement.

Et il se faisait, au fil du temps, des promesses,Des engagements silencieux, tendres, à lui-même.Entre l’avenir, le présent, et les souvenirs du passé,Il tissait son identité, sans hâte, mais avec conviction.

Comme un fil d’or entre ses mains,Il enroulait ses désirs et ses rêves autour de chaque maille,Un tisserand invisible, modelant son âme,Maille après maille, créant un tableau de ses passions.

Il se promettait d’être libre,De vibrer au rythme de son propre cœur,D’éclater en rictus de joie,D’embrasser la liberté sans détour, sans crainte.

Chaque jour, il crocheta son engagement,Maille après maille, l’amour sans condition,Il se rappelait, dans chaque geste, ces mots silencieux,Chuchotés au creux de ses pensées, dans le secret de son cœur.

Un cœur doux, fragile,Qui se pare de la beauté du silence,Là où les possibles se conjuguent au passé,Et se font parfaits dans le présent,Harmonieux dans le futur.

Ses rêves, endormis mais éveillés,Se mêlent à sa liberté d’aujourd’hui, à celle de demain,Comme un drap de soie tissé dans les bras de Morphée,Où chaque instant devient un souffle de vie.

À toi, je dis :Aime ta liberté, aide-toi,Conjugue ta vie à tous les temps,Et tisse ton avenir avec le fil de ton cœur.

Perrine.